JAZZ LIBRE et la révolution québécoise (2019) de ERIC FILLION

JAZZ LIBRE et la révolution québécoise (2019) de ÉRIC FILLION

JAZZ LIBRE et la révolution québécoise
Musique-action, 1967-1975

 

Eric Fillion

 

M Éditeur
2019, 200 pages

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

 
 

Quelle est la place du free jazz dans les luttes menées contre le capitalisme et l’impérialisme anglo-saxon au lendemain de la Révolution tranquille ? En quoi l’improvisation collective en musique est-elle le moteur d’une révolte politico-culturelle, voire le vecteur d’une utopie collective ? Quel est le rôle des travailleur·euses culturel·les dans le militantisme politique du Québec des années 1960 et 1970 ?

 

Cette histoire du groupe Jazz libre retrace le parcours emprunté par un collectif d’improvisateurs engagés dans la recherche de nouvelles formes de communication et d’organisation : de leurs débuts à « L’Atelier de jazz » au centre-ville jusqu’à l’Amorce dans le Vieux-Montréal, en pas­sant par l’Association espagnole, la Colonie artistique de Val-David et la commune socialiste « P’tit Québec libre ». La pratique musicale du groupe se veut rassembleuse, participative, démocratique et libératrice. Elle l’amène à participer aux expérimentations de Raôul Duguay et de Walter Boudreau dans l’Infonie, et celles de Robert Charlebois et de ses complices de l’Osstidcho. Elle est surtout une « musique-action », c’est-à-dire un outil de désaliénation avec lequel le Jazz libre invite les gens à communiquer ensemble pour ensuite prendre conscience de leur capacité d’agir et de se libérer – individuellement puis collectivement. Cette démarche lui permet d’établir des réseaux avec des membres de la revue Parti pris et du Front de libération du Québec ainsi que des militant·es étudiant·es et ouvrier·ères. Dès lors, sa destinée est fatalement liée à celle de la gauche indépendantiste ; une gauche bigarrée qui, à la fin des années 1960 et au début des années 1970, fait face aux champs des possibles.

 
DÉTAILS

Paris Occulte (2018) de BERTRAND MATOT

Paris Occulte (2018) de BERTRAND MATOTParis Occulte

 

Bertrand Matot

 

Éditions Parigramme
2018, 128 pages

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Si Paris a toujours dialogué avec les forces de l’esprit, c’est au milieu du XIXe siècle que la fascination pour les sciences occultes prend une ampleur inédite. Dans les salons de la bonne société et jusqu’au palais des Tuileries – où Napoléon III tente d’entrer en contact avec son oncle –, on fait danser les tables pour communiquer avec l’au-delà et les fantômes. Tandis que les alchimistes s’enferment dans leurs cabinets, écrivains ésotériques, artistes médiums, photographes spirites, magnétiseurs et féministes spiritualistes se passionnent pour le surnaturel. Parallèlement, des savants émérites auscultent des spectres dans leurs laboratoires et des personnages étranges s’adonnent à des messes noires. De la Grande Guerre à l’Occupation, la vogue occultiste s’enrichit d’un cortège de personnalités extraordinaires mues par un désir de magie et de mysticisme. Les visions des mages continuent de prospérer dans la littérature, l’art, la presse et la politique : astrologues, voyantes, fakirs, devins et oracles deviennent les gourous des temps modernes.

 

Paris Occulte (2018) de BERTRAND MATOT

Paris Occulte (2018) de BERTRAND MATOT

Paris Occulte (2018) de BERTRAND MATOT

Paris Occulte (2018) de BERTRAND MATOT

Paris Occulte (2018) de BERTRAND MATOT

Paris Occulte (2018) de BERTRAND MATOT

Paris Occulte (2018) de BERTRAND MATOT

Paris Occulte (2018) de BERTRAND MATOT

Paris Occulte (2018) de BERTRAND MATOT

Détails

 

(Merci Ralph)

 

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L’Europe des esprits ou la fascination de l’occulte, 1750-1950 au MAMCS (December 13, 2011)

The Devil’s Cradle (2017) by TERO IKAHEIMONEN

The Devil’s Cradle (2017) by TERO IKAHEIMONEN

The Devil’s Cradle
TERO IKAHEIMONEN
Svart Records, 2017, approx. 500 pages



“The Devil’s Cradle: The Story of Finnish Black Metal” by Helsinki-based journalist Tero Ikäheimonen is a definite history of one of the most uncompromising and brutal music scenes in the world: the Finnish Black Metal.


Based on over 50 interviews done between 2014 and 2016, the book unravels the story from late 80’s to modern days featuring such bands as: Beherit, Impaled Nazarene, Barathrum, Archgoat, Azazel, Diaboli, Darkwoods My Betrothed, Horna, Vornat, Thy Serpent, Wanderer, Urn, Black Dawn, …And Oceans, Musta Surma, Alghazanth, Azaghal, Warloghe, Behexen, Clandestine Blaze, Satanic Warmaster, Ride for Revenge, Goatmoon, IC Rex, Charnel Winds, Cosmic Church, Saturnian Mist, Rienaus and Abyssion …


“The Devil’s Cradle: The Story of Finnish Black Metal” (2017) by TERO IKAHEIMONEN

DETAILS


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Eternal Flame of Gehenna / Loputon Gehennan Liekki (A Finnish Black Metal Documentary)
Sami Kettunen, Finland, 2011, 51 min



Eternal Flame of Gehenna / Loputon Gehennan Liekki (A Finnish Black Metal Documentary) (2011) by SAMI KETTUNEN

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Bleu Blanc Satan (2016) de CAMILLE DAUTEUILLE et FRANCK TRÉBILLAC (April 6, 2017)
Black Metal (1998) de MARILYN WATELET (July 13, 2015)
How Much Black Metal Can You Take? (April 13, 2014)
One Man Metal (2012) presented by Noisey (December 20, 2012)
Xasthur par BRYAN SHEFFIELD, Self-Titled numéro 8 (June 23, 2011)
Black Metal Satanica (2008) by MATS LUNDBERG (June 13, 2011)
‘Black Metal’ (2005) photographs by STACY KRANITZ (June 4, 2011)
Svart Metall’ (2009) par GRANT WILLING (June 2, 2011)
Until the Light Takes Us (2009) by AARON AITES & AUDREY EWELL (June 1, 2011)
Norsk Black Metal (Norwegian Black Metal) (December 4, 2010)
Det Svarte Alvor (1994) A Black Metal Documentary (December 2, 2010)

Mystical Symbolism: The Salon de la Rose+Croix in Paris, 1892–1897

Wishlist Nativité 2017 :

 
 

Mystical Symbolism: The Salon de la Rose+Croix in Paris, 1892–1897

 

Mystical Symbolism: The Salon de la Rose+Croix in Paris, 1892–1897

 

El Graal (1893) ROGELIO DE EGUSQUIZA

El Graal (1893) ROGELIO DE EGUSQUIZA

 
 

Mystical Symbolism: The Salon de la Rose+Croix in Paris, 1892–1897

 

Mystical Symbolism: The Salon de la Rose+Croix in Paris, 1892–1897

The Death of Orpheus (1893) JEAN DELVILLE

 
 

Mystical Symbolism: The Salon de la Rose+Croix in Paris, 1892–1897

 

Orpheus in Hades (1897) PIERRE-AMÉDÉE MARCEL BÉRONNEAU

 
 

Mystical Symbolism: The Salon de la Rose+Croix in Paris, 1892–1897

Edited by Vivien Greene
Contributions by Greene, Jean-David Jumeau-Lafond, and Kenneth E. Silver, as well as Ylinka Barotto, Caroline Guignard, Alison Hokanson, Natalia Lauricella, and Glynnis Stevenson

 

Mystical Symbolism: The Salon de la Rose+Croix in Paris, 1892–1897 accompanies the first-ever museum presentation examining the Salon de la Rose+Croix (R+C), a series of annual exhibitions established by eccentric French author, critic, and Rosicrucian Joséphin Péladan. The R+C convened an international group of Symbolist artists around a shared refutation of Realist aesthetics and philosophy, frequently in favor of the Ideal. Among the participants were Pierre Amédée Marcel-Béronneau, Jean Delville, Fernand Khnopff, Charles Maurin, Armand Point, Alexandre Séon, and Félix Vallotton.

 

Bound in red velvet with gold stamped lettering to conjure the sensorially evocative atmosphere of the Salons, the catalogue features essays about the history, themes, and often transcendent aims of the R+C (Greene), its reception by the press and the public in the 1890s (Jumeau-Lafond), and the importance of spiritualism to early 20th-century abstraction (Silver). This richly illustrated volume also contains 46 color plates, entries on each exhibited artist, and a bibliography of contemporary sources on Symbolist art.

 

DETAILS

 

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Mystical Symbolism: The Salon de la Rose+Croix in Paris, 1892–1897

Mystical Symbolism: The Salon de la Rose+Croix in Paris, 1892–1897
June 30 – October 4, 2017
Solomon R. Guggenheim Museum, New York

 

DETAILS

Dernière danse : l’imaginaire macabre dans les arts graphiques (2016)

Dernière danse : l'imaginaire macabre dans les arts graphiques (2016)

Dernière danse :
l’imaginaire macabre dans les arts graphiques


Musées de la ville
de Strasbourg
2016, 208 pages






























Dernière danse : l’imaginaire macabre dans les arts graphiques, catalogue de l’exposition du même nom où étaient présentées du 21 mai au 29 août 2016 dernier les variantes iconographiques du thème des « Danses macabres » dans les collections des musées strasbourgeois.


Commissaires
FRANCK KNOERY, attaché de conservation au MAMCS et
FLORIAN SIFFER, attaché de conservation au Cabinet des Estampes et des Dessins


Conception graphique
CLÉMENT LE TULLE-NEYRET



‘Associé au sentiment de la peur de la mort, le sujet macabre a accompagné l’histoire des arts graphiques depuis la fin du XVe siècle. Il a connu des développements particuliers dans la vallée Rhénane, inspiré par les modèles primitifs des fresques des dominicains de Bâle et de Strasbourg, et porté par le succès de l’imprimerie. Partant d’une vocation moralisatrice, qui, selon la formule « Memento Mori », devait rappeler aux mortels leur sort inéluctable, le sujet macabre a pu faire l’objet d’une interprétation plus politique au moment de la Révolution de 1848 et des guerres franco-allemandes. Mais il a également été traversé par une veine comique associée à la volonté de conjurer ou d’expier la mort et a fait l’objet de nombreuses déclinaisons dans la culture populaire.


Cette exposition, basée sur les collections des musées strasbourgeois augmentées d’emprunts significatifs, propose de décliner les variantes iconographiques de ce genre qu’on a pu appeler « Danses macabres » depuis ses formes primitives jusqu’aux crises et conflits ayant ponctué le XXe siècle. Elle réunit les noms de ses principaux représentants depuis les Maîtres de l’histoire de la gravure Hans Holbein, Albrecht Dürer, Heinrich Aldegrever, Hans Sebald Beham jusqu’aux grands noms associés aux arts graphiques des XIXe et XXe siècles : Alfred Rethel, Alfred Kubin, Joseph Sattler, George Grosz, Otto Dix, et, plus près de nous, Tomi Ungerer.


En contrepoint de cette exposition, le Musée Tomi Ungerer – Centre international de l’Illustration présente du 15 avril au 16 octobre « Rigor Mortis et autres danses macabres ». Le thème des « Danses macabres », inspiré à Tomi Ungerer par Hans Holbein, a donné naissance en 1983 à un livre entièrement consacré à ce sujet, Rigor Mortis. L’ensemble de la série est exposée en résonance avec des œuvres d’autres illustrateurs contemporains qui ont renouvelé le thème.’



Dernière danse : l'imaginaire macabre dans les arts graphiques (2016)

Dernière danse : l'imaginaire macabre dans les arts graphiques (2016)

Dernière danse : l'imaginaire macabre dans les arts graphiques (2016)

Dernière danse : l'imaginaire macabre dans les arts graphiques (2016)

Dernière danse : l'imaginaire macabre dans les arts graphiques (2016)

Dernière danse : l'imaginaire macabre dans les arts graphiques (2016), couverture arrière. Photo CLÉMENT LE TULLE-NEYRET

Images CLÉMENT LE TULLE-NEYRET & ÉTAPES



Merci JLFRNR