La ‘Crise d’octobre’ a 40 ans

‘Le 5 octobre 1970, la crise d’Octobre éclate’

 

Les événements d’octobre 1970
Robin Spry, Canada, 1974, 87 min 9 s

 

Documentaire retraçant les faits saillants qui ont marqué l’automne 1970, au Québec. La caméra suit les hommes et les événements dans l’énorme casse-tête politicosocial suscité par l’enlèvement de deux hommes. Le film ne va pas sans un important rappel historique des faits qui sous-tendent l’action entreprise par le Front de libération du Québec.

 

 

La liberté en colère
Jean-Daniel Lafond, Canada, 1994, 73 min 16 s

 

Documentaire sur quatre personnages, qui furent au début des années 70 les acteurs d’une période mouvementée d’affirmation nationale au Québec : Pierre Vallières, Charles Gagnon, Francis Simard et Robert Comeau. Regard sur leur engagement social et politique sur fond de séquences d’archives et de chansons de Plume Latraverse.

 

 

24 heures ou plus
Gilles Groulx, Canada, 1973, 113 min 13 s

 

Pamphlet cinématographique réalisé par Gilles Groulx à un moment de fièvre populaire exceptionnelle au Québec, dans le contexte de la Crise d’octobre 1970. Œuvre personnelle et militante d’un cinéaste québécois engagé, sa philosophie s’oppose à la « société de consommation » perçue comme la suprême incarnation du mal.

 

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Aussi :

Crise d’octobre, 40 ans déjà

Archives de Radio-Canada
 

Il y a 40 ans, le Québec traversait l’une des pires crises de son histoire. Pendant plusieurs semaines, la population a été tenue en haleine. Deux personnages publics ont été enlevés, une menace de coup d’État (réel ou supposé) planait dans l’air, l’armée canadienne s’est déployée au Québec et des centaines de personnes ont été arrêtées en vertu de la Loi sur les mesures de guerre.

La crise d’Octobre a changé à jamais la société québécoise, et ses séquelles se font sentir encore aujourd’hui.

Des émissions spéciales à la télévision et à la radio de Radio-Canada vous font revivre les événements d’Octobre 70 en y apportant un éclairage nouveau. Des témoignages chocs et de nouvelles révélations permettent de voir la crise sous un autre angle.

Québec alloue 18,5 millions au patrimoine religieux

QUÉBEC – Plus de 25 millions $ seront dépensés en 2010-2011 en travaux de restauration sur une centaine de bâtiments religieux à valeur patrimoniale, a annoncé mardi la ministre de la Culture, des Communications et de la Condition féminine, Christine St-Pierre.


Le Ministère accorde une aide financière de 18,6 millions $ au Conseil du patrimoine religieux du Québec, pour couvrir jusqu’à 70 % des coûts de ces projets, le reste devant être assumé par les propriétaires des bâtiments.


L’aide vise des lieux de culte et des édifices à vocation religieuse datant d’avant 1945.


Dans la région de la Capitale-Nationale, des travaux seront réalisés sur sept églises, pour un total de 3,3 millions $.


Une aide financière de 705 000 $ servira à la réfection du système électrique et à des travaux de maçonnerie sur l’église Saint-Michel de Sillery; l’archevêché de Québec reçoit plus de 869 000 $ pour des travaux de mise aux normes alors que l’église Chalmers-Wesley obtient 535 854 $ pour la restauration de ses clochers. Enfin, la basilique Sainte-Anne-de-Beaupré bénéficiera de 730 000 $ pour la restauration de sa toiture. Dans la région de la Chaudière-Appalaches, une aide de 1,7 million $ permettra de réaliser 11 projets de restauration.


L’annonce a été faite à l’église Saint-Michel, près de la côte de l’Église. L’administrateur diocésain de l’archidiocèse de Québec, Mgr Gérald Cyprien Lacroix, en a profité pour rappeler qu’à Québec, seulement 37 % des églises paroissiales sont éligibles à ce programme d’aide, soit 96 bâtiments sur un total de 258. Aucun autre programme n’offre de soutien financier aux fabriques pour assurer l’entretien de ces édifices, a-t-il souligné.


«Le défi de conservation et de mise en valeur du patrimoine religieux québécois ne pourra être relevé que par la coopération et le partenariat entre les institutions religieuses et l’ensemble des acteurs de la société québécoise.»


«Ici à Québec, il y a cinq églises que nous partageons avec des partenaires, comme la municipalité, et nous avons aussi des églises excédentaires que nous avons vendues. Nous devons faire des choix pour chaque cas.»


La ministre St-Pierre a d’ailleurs cité l’exemple de la municipalité de Saint-Jean-de-Dieu, dans la circonscription de Rivière-du-Loup, dont l’église a maintenant une vocation mixte. Le Ministère a accordé une aide de 393 600 $ pour y aménager la bibliothèque municipale, même si une partie sert encore de lieu de culte. La ministre St-Pierre a enfin invité les citoyens et les organismes à présenter des mémoires pour la consultation qui aura lieu, en janvier 2011, sur le projet de loi sur le patrimoine culturel. Le projet vise à passer de la notion de bien culturel à celle, plus large, de patrimoine culturel. Il innove aussi en créant les concepts de patrimoine immatériel et de paysage culturel patrimonial.



Pierre Asselin
Le Soleil

Druids Given Religious Status in the UK

Next year’s summer solstice at Stonehenge will be the first at which Druidry has been officially recognised as a religion

 

 

Stonehenge

 

Druidry to be classed as religion by Charity Commission

 

Druidry is to become the first pagan practice to be given official recognition as a religion.

 

The Charity Commission has accepted that druids’ worship of natural spirits could be seen as religious activity.

 

The Druid Network’s charitable status entitles it to tax breaks, but the organization says it does not earn enough to benefit from this.

 

The commission says the network’s work in promoting druidry as a religion is in the public interest.

 

The move comes thousands of years after the first druids worshipped in Britain.

 

Druidry was one the first known spiritual practices in Britain, and druids existed in Celtic societies elsewhere in Europe as well.

 
 

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