Le Testament d’Orphée (1959) de JEAN COCTEAU

 
Le Testament d’Orphée ou ne me demandez pas pourquoi!
Jean Cocteau, France, 1959, 81 min

 

Mort et résurrection du poète. Frappé par une balle, le poète JEAN COCTEAU rebondit dans un autre temps. Vie et mort, présent et futur, monstres et imagination, angoisses et fantasmes, c’est le Testament du poète cinéaste, sa biographie sans aucun souci de chronologie. JEAN COCTEAU y tient le rôle principal.


Le Testament d'Orphée (1959) de JEAN COCTEAU

Le Testament d'Orphée (1959) de JEAN COCTEAU

Le Testament d'Orphée (1959) de JEAN COCTEAU

Le Testament d'Orphée (1959) de JEAN COCTEAU

 

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Le sang d’un poète (1930) de JEAN COCTEAU (March 13, 2014)
La villa Santo Sospir (1952) de JEAN COCTEAU (May 17, 2011)
Orphée (1950) de JEAN COCTEAU (February 11, 2011)

Pranks! (1988) by LESLIE ASAKO GLADSJO

Pranks TV!
Leslie Asako Gladsjo, USA, 1988, 31 min

 

Featuring:

  • Mark Pauline: Founder of machine-mangling Survival Research Laboratories recounts giant billboard « improvements » done in his misspent youth.
  • Karen Finley: Provocative performance artist: sex, food, death, and butt hairs…
  • Joe Coleman: New York madman crashes parties with explosives wired to his chest… you guess the rest!
  • Boyd Rice: Presents the First Lady of the United States, Betty Ford, with a skinned sheep’s head on a silver platter!
  • Frank Discussion: Intense leader of seminal punk band the Feederz throws a dead dog into the audience, causes a big stink!

 

Pranks! (1988) by LESLIE ASAKO GLADSJO

Le sang d’un poète (1930) de JEAN COCTEAU

Le sang d’un poète
Jean Cocteau, France, 1930, 49 min

 

Le film se décompose en quatre parties (WIKI) :

 Première partie : Une cheminée d’usine s’apprête à tomber. Durant ce temps, dans la chambre d’un poète, une statue sans bras s’anime brusquement. Cette dernière l’invite à plonger dans un miroir et de découvrir un autre monde. Des lieux et des personnages étranges s’offrent à lui : un couloir d’hôtel borgne, une fumerie d’opium, une chambre où l’on donne une leçon de vol à une jeune fille, un hermaphrodite, etc. Le poète s’arrache à ses fascinations malsaines et non sans mal regagne sa chambre. Il détruit la statue, après quoi il devient statue lui-même.

Deuxième partie : Dans une école, le spectateur assiste à une bataille de boules de neige. L’une d’elles, en fait du marbre, heurte de plein fouet un garçonnet et le tue.

Troisième partie : Des spectateurs en habits de soirée viennent assister comme au théâtre, à l’agonie de l’enfant près du corps duquel le poète et une jeune femme jouent aux cartes. Le cœur de l’enfant devient un atout maître dans le jeu. Le poète se suicide, sous les applaudissements des invités.

Quatrième partie : Un tableau vivant représentant la femme statue tenant une lyre et une mappemonde clôture le film. Quand l’on voit que la cheminée d’usine s’écroule, le spectateur se rend compte qu’il ne s’est écoulé qu’une seconde, comme dans un rêve.

 

Le sang d'un poète (1930) de JEAN COCTEAU

Le sang d'un poète (1930) de JEAN COCTEAU

 

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La villa Santo Sospir (1952) de JEAN COCTEAU (May 17, 2011)
Orphée (1950) de JEAN COCTEAU (February 11, 2011)