Christian woman explains that Monster Energy drinks are the ‘work of Satan’


In a viral video elaborating upon a long-held belief by some Christians that Monster Energy drinks are somehow affiliated with the work of Satan, a woman explains the clues the manufacturer of the popular energy-boosting drink have hidden on the can.


Beginning with breaks in the letter ‘M,’ the woman explains that it symbolizes the Hebrew letter vav — the sixth letter in the Hebrew alphabet — as she maintains that the three now-broken bars of the ‘m’ stand for 666, the Sign of the Beast. She later notes how this ties in with the drink’s advertising slogan: Unleash the beast.


Turning to the ‘o’ in the word ‘monster’ she draws attention to a cross piercing it and poses the question as to what Christ, as symbolized by the cross, has to do with an energy drink company. She then notes that the can has the letters ‘BFC’ at the base which she explains stands for “Big f*cking can,” while she draws attention to to size of the 24 fl. oz can


After displaying the bulk packaging for the drinks, she notes the promotional copy which states, “MILF’s dig it, and you will too,” before concluding, “This is not a Christian company.”


She goes on to state that the manufacturers are using the popularity of the highly-caffeinated drinks to enter into Christian homes.


“This is how clever Satan is. And how he gets into the Christan home, and a Christian’s life, and it breaks God’s heart,” she explains.



Tom Boggioni
Raw Story

Des appels pour des cas d’exorcisme au diocèse de Montréal

Le Diocèse de Montréal reçoit des appels de gens qui se disent possédés par les forces du mal. Le 24h a rencontré le prêtre chargé d’écouter ces personnes.


L’abbé François Sarazin, chancelier du Diocèse de Montréal, est mandaté, de recevoir les demandes pour les questions d’exorcisme.


«Des gens, pour toutes sortes de raisons, se sentent possédés, a expliqué l’abbé Sarazin en entrevue. On doit traiter leurs appels avec respect et on ne peut pas refuser de les entendre. Il serait imprudent de passer par-dessus ces phénomènes-là.»



Confirmer la possession


«On est en présence de personnes qui ont besoin d’un réconfort spirituel parce qu’elles souffrent et qu’elles sentent qu’il se passe quelque chose dans leur être», a ajouté le prêtre.


Lorsque l’abbé Sarazin reçoit ce genre d’appels téléphoniques, il propose au demandant de rencontrer le curé de sa paroisse. «Lorsqu’un prêtre va à sa rencontre, il est capable de savoir si l’individu est possédé ou pas», a-t-il expliqué.


«On lui pose des questions sur sa vie spirituelle et s’il y a une forme de répulsion lorsque par exemple on prononce le nom de Jésus ou celui de la Vierge Marie, la personne est prise d’une forme de possession», a confirmé le père Sarazin.



Le rituel


Il y a donc un rituel documenté qui existe au Diocèse de Montréal pour tenter de guérir ce genre de possession.


Durant la procédure, il y a une entrée avec une célébration pénitentielle où on demande pardon à Dieu.


«On écoute aussi la parole de Dieu tiré de passages des évangiles et on procède à un acte de prières sur la personne pour chasser l’esprit du malin (diable, démon, etc.)», a raconté M. Sarazin.


«On fait donc un rituel de prières de demandes de pardon, de suffrage, de supplication à Dieu de libérer la personne pour qu’elle retrouve la paix intérieure», a ajouté le prêtre.


«Ce n’est toutefois pas comme dans les films. Il n’y a pas de prêtres vêtus d’une telle manière, de décors de chandelles, d’encans et des cris», a toutefois précisé l’homme d’Église.



Maisons hantées


Le Diocèse de Montréal reçoit aussi des appels de gens qui pensent que des objets ou des lieux sont possédés. «Ça peut-être quelqu’un qui sait qu’il y a eu un meurtre dans sa maison il y a 30 ans et qui pense qu’il y a quelque chose qui se passe», a-t-il confié.


«Il peut aussi y avoir eu des phénomènes de sorcellerie qui donne l’impression à une personne que sa maison est hantée», a-t-il ajouté.


Habituellement, le prêtre va aller dans la maison et il va être attentif pour voir s’il y a des images sataniques et s’il y a déjà eu de la sorcellerie à cet endroit. «Le prêtre va bénir la maison, pièce par pièce, avec de l’eau bénite, une prière et demander que la paix revienne dans les lieux», a souligné le chancelier.


Il faut mentionner qu’il s’agit de séances d’exorcises officieuses, car il n’y a pas de prêtres du Diocèse de Montréal qui est officiellement autorisé par l’archevêque du Diocèse à pratiquer des exorcises.


Un prêtre exorcise européen, reconnu officiellement, est aussi venu donner une conférence à une quarantaine de prêtres l’an passé à Montréal.


En juillet dernier, le Vatican a aussi reconnu l’Association internationale des exorcistes (AIE), donnant son soutien à une pratique qui n’est pas admise ou appréciée par tous dans l’Église.



Simon Dessureault
Agence QMI

Cornucopia, Feast of Kyriat, Festival of Dionysus, Alban Eifed, Équinoxe d’Automne MMXIV

Affaires courantes :


Photo Dumontier-Nault pour le livre 'Les marges détachables' de RALPH ELAWANI à paraître cet automne chez Poètes de brousse

Photo de RALPH ELAWANI par DUMONTIER-NAULT pour son livre Les marges détachables‬ à paraître cet automne chez Poètes de brousse.


CHRIST le 2 septembre MMXIV à la Casa del Popolo, Montréal p.Q.

Jaune comme tes dents est allé voir CHRIST le 2 septembre MMXIV à la Casa del Popolo, Montréal p.Q.


SOMBRE & AMER


LaVey

Les Sinners (1971) par LES SINNERS

Satan’s Sabbath / Le diable est parmi nous Jean Beaudin, Canada, 1972, 89 min



Dossier CROIR Proctor and Gamble

Dossier CROIR sur Proctor and Gamble

L’abbatiale de la LITURGIE APOCRYPHE et RALPH ELAWANI travaillent actuellement sur la représentation du satanisme dans les médias québécois durant la décennie 1980-1990. L’essai sera publié par Spectacular Optical, au sein d’un livre collectif commissionné et colligé par Kier-La Janisse, intitulé Satanic Panic.



VOOR 'Evil Metal' (1985)

L’évolution du métal québécois, No Speed Limit (1964-1989) de FÉLIX B. DESFOSSÉS

L’évolution du métal québécois, No Speed Limit (1964-1989) de FÉLIX B. DESFOSSÉS retrace la naissance d’un courant musical underground, mais omniprésent dans le panorama musical du Québec depuis plus de 30 ans. De manière consciente ou non, le métal d’ici s’est imprégné du rock garage primitif et provocateur des années 60, des envolées stratosphériques du rock psychédélique, des structures complexes du rock progressif, du poids du heavy rock, de la rébellion du punk et du hardcore, des démos cassette de speed/thrash metal local, la sauvagerie du crossover défonce ou des pionniers du death metal.


Ce récit est construit sur un squelette de citations tirées de près d’une centaine d’entrevues au centre duquel se trouve le coeur du métal québécois: VOÏVOD. Des HOU-LOPS à OFFENBACH et AUT’CHOSE, en passant par D.D.T., SWORD et DBC, jusqu’à OBLIVEON et GORGUTS, l’évolution du métal québécois est établie ici pour la toute première fois. Ce livre démontre hors de tout doute que le Québec représente une plaque tournante pour le métal.


Éditions du Quartz