6-6-06: The Satanic High Mass by THE CHURCH OF SATAN

6-6-06: The Satanic High Mass
The Church of Satan, USA, 2006, 42 min


On June 6, 2006 C.E. we celebrated the 40th Anniversary of the Church of Satan at the Center for Inquiry West’s Steve Allen Theatre in Los Angeles. The first Satanic High Mass was performed, inspired by the rituals of our founder, Anton Szandor LaVey. The rite included workings for compassion, the prime celebrant and bestower of campassion being Reverend Bryan Moore, lust evoked by Priestess Heather Saenz – assisted by the Reverends Entity, and destruction summoned by Magister Diabolus Rex – with a special condemnation of fanatical theism proclaimed by Magister Robert Lang. Each celebrant accepted formal requests by three congregants, nine in total. The ritual was capped by a benediction upon the congregation by Magus Peter H. Gilmore, High Priest. Heightening the emotions was the live score by Lustmord, available as an album titled Lustmord Rising (06.06.06).

Over 100 members of the Church of Satan coming from around the globe filled the theatre to capacity. These passionate people were part of the proceedings which were inspired by the 1934 film The Black Cat (on en parlait ici) starring Bela Lugosi and Boris Karloff who played a brilliant modern architect and High Priest of Satan. The film depicted the Satanists as being wealthy and powerful and they arrived to celebrate the Rites of Lucifer dressed in formal evening attire. Their chamber was expressionistic, wrought with angled crystals. And so we conjured a similar decor, though the lighting was inspired by the works of Mario Bava. To complete this total environment, attendees were enjoined to dress formally, just as was done in the film, and our members rose to the occasion by donning colorful personalized attire, their sartorial splendor proper for the aristocracy of the outstanding that comprises our membership. An inside joke from the film was that the Latin words sonorously intoned by Karloff were in fact taken from an ancient botany text. Reverend Moore, in superb mimicry, speaks this text as a further nod to that most effective movie’ Church of Satan

Gate of hope: photographies de JINDRICH STREIT

Trouvé sur le blog de Well Fed (j’aimais bien leur t-shirt pour le band Xibalba ‘Hasta la Muerte’). La plupart des photos sont tirées de sa série ‘Gate of hope’ :


Photographies de JINDRICH STREIT

Photographies de JINDRICH STREIT

Photographies de JINDRICH STREIT

Photographies de JINDRICH STREIT

Photographies de JINDRICH STREIT

Photographies de JINDRICH STREIT

Photographies de JINDRICH STREIT

Photographies de JINDRICH STREIT

Photographies de JINDRICH STREIT

Photographies de JINDRICH STREIT

Photographies de JINDRICH STREIT

Jindřich Štreit


‘Jindřich Štreit (born 5 September 1946, Vsetín) is a Czech photographer and pedagogue known for his documentary photography. He focuses on documenting the rural life and people of Czech villages. He is considered one of the most important exponents of the Czech documentary photography’ …

Traduction anglaise de Réminiscence Apocryphe

Réminiscence Apocryphe


Réminiscence Apocryphe, qu’on a fait avec le département des productions interactives de l’ONF en MMX, sera traduit vers l’anglais (et en HTML5) à partir d’une copie du ‘Abridgement of the Quebec catechism’ datant de 1834 …



Réminiscence Apocryphe


« Revised and authorized by His Lordship the Right Rev. Joseph Signay, Bishop of Quebec »



Réminiscence Apocryphe


 »Filmed from a copy of the original publication held by the Bibliothèque de la Ville de Montréal. »



Réminiscence Apocryphe

L’éclipse du sacré (1998) de NICOLA ZAVAGLIA

L’éclipse du sacré
Nicola Zavaglia, Canada, 1998, 52 min

 

Devant la chute spectaculaire du nombre des fidèles et des nouvelles vocations partout en Occident, la religion catholique fait aujourd’hui face à une crise sans précédent. S’appuyant sur des images d’une beauté saisissante tournées à Rome, en Calabre et au Québec, ce documentaire dresse le portrait objectif d’une religion en questionnement. Deux mille ans après Jésus-Christ, le culte catholique peut-il espérer redevenir florissant?

Le nouvel archevêque de Montréal s’inscrit dans la mouvance conservatrice

MONTRÉAL – Le nouvel archevêque de Montréal, Christian Lépine, a rencontré les médias, mercredi, en compagnie de celui dont il prend la relève, le cardinal Jean-Claude Turcotte, qui prend sa retraite à l’âge de 75 ans.


D’entrée de jeu, il est apparu que ce changement de garde se traduira par un changement de style et un alignement plus clair sur la doctrine conservatrice avancée par le pape Benoît XVI.


Contrairement à l’approche populiste du cardinal Turcotte, Mgr Lépine est davantage axé sur l’approche intellectuelle et la théologie. Il se définit lui-même comme un apôtre de la chasteté et de la virginité avant le mariage.


D’une prudence extrême, il a toutefois évité les déclarations à l’emporte-pièce lors de sa conférence de presse, se référant constamment aux enseignements de Jésus-Christ par la voie de l’Évangile, en se réclamant du coup de l’approche de son prédécesseur.


«Quand les problèmes sont complexes et qu’on ne sait plus trop à quelle priorité accorder le plus d’attention, allez à l’essentiel, a dit l’archevêque. Et l’essentiel qu’il (le cardinal Turcotte) nous communiquait par le fait même dans le même souffle, c’est Jésus Christ, c’est de connaître Jésus Christ, c’est de découvrir Jésus Christ, c’est de vivre la vie de Jésus Christ.»


Il dit baser sa démarche sur le respect de la personne et privilégier le dialogue plutôt que la confrontation, dialogue qu’il cherche à initier par l’écoute.


«Quand quelqu’un a une valeur ou une opinion, que ce soit en faveur de l’avortement ou de l’euthanasie, ce à quoi je ne suis pas prêt à me rallier si on veut, j’ai besoin de savoir pourquoi quelqu’un en est venu à penser comme ça. Parce que je ne peux pas vraiment lui parler encore si je ne sais pas ce qui a amené quelqu’un à être en faveur d’une certaine optique», a-t-il expliqué.


Sa philosophie conservatrice ne fait toutefois aucun doute. Par exemple, il n’est pas en faveur de permettre la communion à des personnes divorcées si elles se trouvent dans un nouveau couple.


«Si elles sont divorcées sans être engagées dans une autre relation, elles sont prêtes à communier parce qu’elles sont dans la fidélité à leur mariage. Si elles ont repris une autre relation — ça peut être compréhensible — l’idée c’est de dire à quelqu’un: je t’invite à prier mais je ne pense pas que tu sois prête à communier.»



Pour sa part, le cardinal Turcotte n’a pas caché son soulagement de céder des responsabilités qui commençaient à lui peser en raison de son âge et de son état de santé. Il a assuré son successeur de son soutien tout en lui promettant de ne pas se transformer en gérant d’estrade.


«J’ai besoin de réfléchir davantage, de prier davantage, et puis de rendre des services selon mes capacités, a indiqué le nouveau retraité. Bien sûr que je ne jouerai pas à la belle-mère! La belle-mère comme le font certaines (organisations) syndicales ou politiques, je n’ai aucune intention de jouer de ce côté-là. Je vais mettre la pédale douce du côté des médias.»


Mgr Turcotte a fait part de son intention de prendre le temps de se recueillir, de se reposer, et de faire un certain rattrapage sur les séries télévisées qu’il avait aimées sans avoir le temps de les regarder.


Invité à faire le bilan de ses 22 années à la tête de l’archidiocèse de Montréal, le cardinal Turcotte s’est dit fier d’avoir vu naître un militantisme solide au sein de sa congrégation dans une société où la religion catholique était en déclin.


«Ce dont je suis fier c’est qu’aujourd’hui, il y a peut-être moins de monde mais on a des gens convaincus. Il y a eu un changement global. À l’époque, quelqu’un qui n’allait pas à la messe était montré du doigt par les autres. Aujourd’hui c’est quand tu vas à la messe que t’es montré du doigt. Pour moi, ce n’est pas si mauvais que ça.»


Pour sa part, Mgr Lépine s’est dit tout à fait à l’aise à oeuvrer dans une société laïcisée, en autant que l’on ne dépasse pas les bornes.


«Quand une religion est une religion d’État, il n’y a plus de liberté de religion. Le fait qu’il y ait une distinction entre l’État et l’Église, qu’il y ait une distinction entre la sécularité et la religion ou la foi, je pense que c’est une bonne chose (en ce sens que) ça donne une liberté à la religion. Par contre, si la sécularité devient la fermeture de la religion, si la sécularité devient le refoulement du religieux, là je trouve qu’on est revenu à la case départ», a-t-il dit.



La Presse Canadienne