Altered States (1980) by KEN RUSSELL

Altered States
Ken Russell, USA, 1980, 102 min
Audio excerpts from Voile D’Orphée by Pierre Henry

 

A Harvard scientist conducts experiments on himself with a hallucinatory drug and an isolation chamber that may be causing him to regress genetically. IMDb

 

Altered States (1980) by Ken Russell

 

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On le met en relation avec le Cerveau Mystique (2006) d’Isabelle Raynauld (on en parlait ici), les Witches’ Cradles (2009) du Center for Tactical Magic (ici), la Hofmann’s Potion (2002) de Connie Littlefield (ici) et la pochette du groupe Godflesh pour l’album Streetcleaner (1989)


Eraserhead (1977) by DAVID LYNCH

 

Eraserhead
David Lynch, USA, 1977, 89 min

 

‘Eraserhead is my most spiritual movie. No one understands when I say that, but it is.’ He went on to write about the difficulties he was having making sense of the way the film was « growing » and didn’t know the thing that just pulled it all together. He then reveals it was the Bible that provided the solution:

‘So I got out my Bible and I started reading. And one day, I read a sentence. And I closed the Bible, because that was it; that was it. And then I saw the thing as a whole. And it fulfilled this vision for me, 100 percent.’ – WIKI

 

Eraserhead (1977) by David Lynch

Eraserhead (1977) by David Lynch

Jour du jugement : Salon du livre anarchiste de Montréal 2011

Samedi 21 et dimanche 22 Mai, de 10h-17h
Au CEDA & Centre Culturel Georges-Vanier : 2515 rue Delisle, Montreal, p.Q. (tout près du métro Lionel-Groulx). GRATUIT. Bienvenue à toutes et tous! Amenez vos enfants!


salonanarchiste.ca


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Notre suggestion : la table de La Conspiration dépressionniste


Québec, ville dépressionniste, paru chez Moult éditions


‘Peu de villes comme Québec affichent avec autant de fierté leur patrimoine tout en ayant, un rictus à peine caché, la conscience d’un passé proche où la modernisation de la ville servait d’excuse à sa destruction. Peu de cités, comme cette Capitale-Nationale, se présentent au monde entier lustrées, polies et radieuses, alors que dans leurs souterrains s’entrecroisent l’hypocrisie, la bêtise et l’arrogance des élites municipales. Québec peut bien se targuer de paraître sous ses plus beaux atours, nous savons qu’elle pourrit du cœur. Québec est l’exemple par excellence d’une ville qui s’est développée par l’anéantissement systématique de son centre au profit de l’horreur banlieusarde.’
Lire l’avant-propos