Transubstantiation (2010) by CHARLES CHADWICK


Transubstantiation
Charles Chadwick, USA, 2010, 8 min



A film with ritual as its central concept. Transsubstanciation is a process by which something ethereal is made material by an act of consciousness, by definition within Catholic ritual. This film seeks to create a permeability of forms and embodiment between painting, direct manipulation of the films’ surface, and physical alteration of its human subjects, with the transformative possibilities of ritual at the core. Film by CHARLES CHADWICK, in collaboration with painter Steven Leyba, and film diva Alexis Perez. This is the latest edit.

Extrait (un autre) de ‘Visa de Censure n°X’ (1967) de PIERRE CLEMENTI



Clip de Visa de Censure n°X de PIERRE CLEMENTI, film tourné en 1967, finalisé en 1975 et sorti en 1976. Musique de Yvan Coaquette et Cyril Verdeaux, Chanson de Valérie Lagrange. PIERRE CLEMENTI était non seulement un acteur lumineux et mystérieux, mais aussi un réalisateur talentueux de films expérimentaux. PIERRE CLEMENTI a rendu l’âme le lundi 27 décembre 1999 à l’hôpital Cochin, Paris.

SUR/IMPRESSIONS: Étienne O’Leary, Pierre Clémenti, Jean-Pierre Bouyxou

SUR/IMPRESSIONS: O'LEARY, CLÉMENTI, BOUYXOU

HORS CHAMP ET ICPCE (Institut pour la coordination et la propagation des cinémas exploratoires)


Présentent


SUR/IMPRESSIONS: ÉTIENNE O’LEARY, PIERRE CLÉMENTI, JEAN-PIERRE BOUYXOU



5 novembre 2010, 20h30
CINÉMATHÈQUE QUÉBÉCOISE
335 Boul. de Maisonneuve O. / 514-842-9763


DAY TRIPPER Étienne O’Leary (1966)
HOMEO (aka HOMEO: MINOR DEATH: COMING BACK FROM GOIN’ HOME) Étienne O’Leary (1967)
CHROMO SUD Étienne O’Leary (1968)
SATAN BOUCHE UN COIN Jean-Pierre Bouyxou (1968)


« Le cinéma fait avant tout partie d’une manière de vivre qui s’affirmera de plus en plus dans les années et le siècle à venir. Nous faisons partie de ce changement, et c’est pourquoi j’ai cherché à établir dans Homéo une chaîne de changements perpétuels, en une constante évolution ou régression, qui cherche avant tout à faire un point. Je pourrais expliquer mes intentions plus directement, même collé à l’image, mais je sais que les gens ne retiennent pas l’idée mais le mot, alors de peur de sonner faux par rapport à son expression réelle, je me tais. » (Etienne O’Leary, 1968)


En présence de Jean-Pierre Bouyxou.



CAFÉ BAR DE LA CINÉMATHÈQUE QUÉBÉCOISE 22h

TNZR050 – étienne o’leary: musiques de films (1966-1968)

Lancement du vinyle « Etienne O’Leary: musiques de films » (Tenzier) et du DVD « Films d’Étienne O’Leary » (ICPCE).



6 novembre 2010, 21h
CINÉMATHÈQUE QUÉBÉCOISE
335 Boul. de Maisonneuve O. / 514-842-9763


LA RÉVOLUTION N’EST QU’UN DÉBUT, CONTINUONS LE COMBAT Pierre Clementi (1968)
VISA DE CENSURE N X Pierre Clémenti (1967-1975) … On en parlait ici.


« Rencontre de l’image et des pulsions psychédéliques colorées de cette époque acidulée…. Désir de retrouver le chant des origines, images qui s’inscrivent jusqu’à nous comme un double et qui nous font signe. » (Pierre Clementi, 1999)


Accompagnement musical de : Dominic Vanchesteing, Bernardino Femminielli, Eric Fillion, Jonathan Parant, Alexandre St-Onge, Roger Tellier-Craig.



7 novembre 2010, 18h45
CINÉMA BLUE SUNSHINE
3660 Boul. St-Laurent 3e étage / 438-380-5869


ENTREZ VITE… VITE, JE MOUILLE! Jean-Pierre Bouyxou (1979)


« “Que faites-vous mon ami?” “Mon devoir conjugal chère, rien d’autre!” Que de peaux souples et tendres dans cette ruée vers l’orgasme — voie libertaire et jovialiste ! Iconoclaste et jouisseur des souterrains cinématographiques depuis toujours, Jean-Pierre Bouyxou filme les plaisirs du vertueux facteur, des bonnes, de la famille Dupied et de Michel Gentil » (Jean Rollin). Film à caractère pornographique. Interdit au moins de 18 ans.


En présence de Jean-Pierre Bouyxou.



Pour plus d’informations:

horschamp.qc.ca / icpce.org / Événement Facebook

La Semaine du Satanisme (Montréal) du 31 octobre au 7 novembre 2010

La semaine du satanisme, un événement organisé par Ca Ca Ca:


Plusieurs événements cryptiques dans divers lieux soit secrets, soit insolites. Bruits, rituels, synesthésies… Plus d’information disponible très bientôt (Les événements seront accueillis par LA BRIQUE : 6545 rue Durocher, local 402, 4e étage).


Invités spéciaux:


Steven Leyba (http://www.stevenleyba.com)
Isa Christ (http://www.myspace.com/isachrist)
Torso (http://www.myspace.com/torsodeath)


Au programme: Rétrospective des films de Christoph Schlingensief, les musiciens les plus dangereux de Montréal, Théorie de la Religion, The Man We Want to Anger : Kenneth Anger, Aleister Crowley, Cinema, Magick & The Occult, Courts-Métrages de CA CA CA, Charles Chadwick, films de Dionysos Andronis, Aryan Kaganof, Roland Lethem, des vidéoclips Métals en VHS, THE RITES OF SET, THE RITES OF ISIS, BOYD RICE: ICONOCLAST (on en parlait ici).


« Le satanisme moderne, non seulement le refuge des modes gothiques et des terreurs nocturnes, est avant tout une discipline intérieure proclamant la liberté individuelle à tout prix contre les institutions, les clergés et toute forme d’autoritarisme grégaire. C’est le mode de vie du créateur, de l’innovateur, du destructeur des formes dont le nihilisme puise dans le néant pré-créationniste (le vide), le moteur (soleil noir) des naissances incendiaires, le rire (rictus) de l’enfant conquérant (Horus). Contre l’hypocrisie judéo-chrétienne, refuge de la morale et du confessionnal qui remet à Dieu le soin de punir le criminel, le satanisme proclame la criminalité qui se rend responsable des conséquences de ses actes, même les plus sordides. Cependant, à l’ère du mensonge et de l’hypocrisie généralisée de nos systèmes politiques et commerciaux, le sataniste est celui qui, ironiquement, défend les droits de la Terre Mère Satanique, nourricière et fertile, contre les ravages suicidaires de la Technique. »

La Cour suprême se penchera sur les exemptions au cours de culture religieuse

OTTAWA – La Cour suprême du Canada garde une porte ouverte pour des parents de Drummondville qui souhaitent que leurs enfants soient exemptés du cours d’Éthique et culture religieuse. En acceptant d’entendre leur appel, le plus haut tribunal du pays déterminera si leurs enfants pourront être exemptés – ou non – de ce cours sur la base qu’ils en subissent un préjudice grave et qu’il viole leur liberté de religion.


La Cour suprême pourrait ainsi être amenée à modifier le refus de la Commission scolaire Des Chênes de leur accorder une exemption, un refus confirmé par la Cour supérieure et la Cour d’appel.


Le programme d’Éthique et culture religieuse est enseigné au Québec depuis septembre 2008, et est obligatoire pour tous les élèves du primaire et du secondaire, au public comme au privé. Il prévoit notamment une introduction à toutes les grandes religions du monde, incluant le christianisme, la religion musulmane et l’hindouisme.


Même avant la première journée de cours, il a suscité des débats au sein de la population québécoise.


Certains s’y sont carrément opposés, comme les parents de confession catholique qui ont mené cette bataille juridique.


Pour eux, leurs enfants subiraient un préjudice grave s’ils étaient forcés de suivre ce cours en raison d’un contact prématuré et obligé avec une série de croyances incompatibles avec celles de la famille. L’atteinte à la liberté de religion – un droit protégé par la Charte canadienne tout comme par la Charte québécoise des droits et libertés – a aussi été plaidée.


Et puisque la ministre de l’Éducation de l’époque, Michelle Courchesne, avait annoncé publiquement en avril 2008 qu’il n’y aurait pas d’exemption à ce cours, les parents avaient aussi argumenté que le processus était vicié dès le début.


La Coalition pour la liberté en éducation – un regroupement de parents créé pour protester contre l’introduction du nouveau cours d’Éthique et de culture religieuse – a accueilli avec satisfaction jeudi la décision de la Cour suprême d’entendre la cause.


«C’est un débat de société important. Que les parents aient le droit de retrouver le droit de choisir», a souligné Sylvain Lamontagne, le président de la Coalition mais aussi un parent opposé à ce cours.



Stéphanie Marin
La Presse Canadienne