Governor Pontius Pilate gave the populace a choice to spare either Barabbas, a criminal, or Jesus, condemned as a heretic, from crucifixion. The masses chose Barrabas, and he is haunted by the image of Jesus for the rest of his life.
(…) The film is based on the book Chapel of Extreme Experience by John G. Geiger about the work of artist Brion Gysin and his Dreamachine.
Gysin’s Dreamachine used a 100-watt light bulb, a motor, and a rotating cylinder with cutouts. Its users would sit in front of it, close their eyes, and experience visions as a result of the flashes of light. Gysin believed that by offering the world a drugless high the invention could revolutionize human consciousness.
Le Diable d’Amérique
Gilles Carle, Canada, 1991, 1 h 11 min
En Amérique, le diable, omniprésent, traverse les siècles et nourrit les peurs, les superstitions. Au diable brûlant de la religion catholique a succédé son double, aussi glacé que la haute technologie.
L’Ordre de Jacques Cartier (la Patente) était une société dite « secrète » qui a servi les Canadiens français et les Acadiens comme outil de réseautage et noyautage de 1926 à 1965. Au plus fort de ses activités au milieu des années 50, elle réunissait environ 12 000 hommes aux valeurs patriotiques, catholiques et pro-francophones. Ses objectifs étaient simples: défendre les intérêts des minorités francophones du Canada par l’entremise d’une élite militante qui infiltrait et influençait l’administration d’organismes publics et d’entreprises privées. Un puissant lobby auquel le père du réalisateur Phil Comeau appartenait.
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Les relations ANGLO-FRANCO dans le cinéma québécois :