L’Europe des esprits ou la fascination de l’occulte, 1750-1950 est une exposition pluridisciplinaire qui explore l’emprise de l’occulte chez les artistes, penseurs, écrivains et savants, dans toute l’Europe, au fil des époques décisives de l’histoire de la modernité.
L’exposition est organisée en trois volets qui traitent respectivement :
de la création artistique (peinture, dessin, sculpture, gravure et photographie) et littéraire surgie de l’irrationnel et de l’obscur,
de la tradition ésotérique revisitée dans une vaste perspective chronologique qui embrasse ses textes fondateurs et son iconographie imprimée,
des relations entre phénomènes occultes et science, à travers l’évocation de figures de savants et d’expériences et la présentation d’instruments scientifiques
Réunissant quelque 500 œuvres, 150 objets scientifiques, 150 livres et une centaine de documents, provenant de nombreux pays européens, L’Europe des Esprits se développe au sein du Musée d’Art moderne et contemporain de la Ville de Strasbourg sur plus de 2500 m².
Présenté jusqu’au 12 février 2012.
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Secrets of the Occult (2007) by DAN BURSTEIN (ici)
The Museum of Icelandic Sorcery & Witchcraft in Hólmavík, Iceland (ici)
The Museum Of Witchcraft in Boscastle (UK) in the late 1960′s (ici) The Alchemy of Things Unknown (ici)
The Trap: What Happened to Our Dream of Freedom
Adam Curtis, UK, 2007, 180 min
The series consists of three one-hour programmes which explore the concept and definition of freedom, specifically, ‘how a simplistic model of human beings as self-seeking, almost robotic, creatures led to today’s idea of freedom. – WIKI
1. « F** k You Buddy »
2. « The Lonely Robot »
3. « We Will Force You To Be Free »
Après des demandes répétées de la communauté musulmane pour avoir son propre symbole religieux devant l’Hôtel de Ville de Mont-Royal pendant les Fêtes, le conseil municipal a tranché: aucun symbole religieux ne sera toléré. Exit la crèche et la ménorah, qui y trônaient depuis une quinzaine d’années.
«Nous nous sommes demandé si nous voulions faire l’étalement des cinq grandes religions. Va-t-on mettre cinq symboles? Ce n’est pas le rôle de la Ville, qui est un pouvoir public laïc», explique le maire de Mont-Royal, Philippe Roy.
Les élus, de confessions différentes, ont adopté la proposition à l’unanimité. La crèche était érigée devant l’Hôtel de Ville à Noël depuis plus de 15 ans et la ménorah (chandelier juif à sept branches) a été instaurée quelques années plus tard par un maire juif.
Une synagogue et une église ont accepté de placer les symboles sur leur terrain après discussion avec les élus, qui seront présents lors des différentes festivités religieuses.
Une décision qui choque
«Pourquoi enlever une vieille tradition acceptée? demande Carla Mariano. Le conseil a-t-il le droit de l’enlever unilatéralement? Ça ne devrait pas plutôt aller dans les mains des citoyens?»
La résidante de Mont-Royal croit qu’on devrait plutôt protéger l’héritage judéo-chrétien du Canada, d’où il tire ses droits et libertés, selon elle.
Pour le maire, il s’agit de représentativité. «Il y a beaucoup de communautés à Mont-Royal. Si on veut représenter la population, la question se pose. Pourquoi ne met-on pas les autres symboles religieux?», demande-t-il.
L’argument démographique ne tient pas, selon Mme Mariano. En effet, 52% des citoyens sont catholiques, 12% juifs, 7% grecs orthodoxes, 7% n’ont pas de religion et 6% musulmans. «C’est près de 80 % qui sont chrétiens, juifs ou que les symboles religieux ne dérangent pas», croit la protestante évangélique.
Un sapin de consolation
Le sapin devant l’Hôtel de Ville, lui, demeurera décoré. «Nous faisons une distinction entre les symboles religieux et les décorations de Noël, mentionne Philippe Roy. Noël est religieux pour certains, mais pour d’autres, c’est culturel. Il y a des non-chrétiens qui ont un arbre de Noël.»
Quand il s’agit de problèmes impliquant des immigrants, les Québécois ont tendance à s’identifier à l’éléphant dans une ménagerie de verre. Ils ont peur de briser les lieux où ils sont tout de même aussi chez eux. Ils craignent de s’affirmer et de paraître de ce fait comme des dominateurs dont l’intolérance la disputerait à la xénophobie. Lire.
Kladivo na čarodějnice (Witchhammer)
Otakar Vávra, Czechoslovakia, 1970, 103 min
Kladivo na čarodějnice is considered Otakar Vávra’s magnum opus. The title (Malleus Maleficarum) is also translated as Witches’ Hammer or Witchhammer. The synopsis of the film is based on Václav Kaplický’s book Kladivo na čarodějnice (1963), a novel about witch trials in Northern Moravia during the 1670s.
The black-and-white allegorical film, full of symbols, follows the events from the beginning until the trial and execution of the priest. Unwillingness to stop the evil in the beginning only encourages the inquisitor to graduate his accusations and use torture. The vicious circle scares everyone from resistance. – WIKI