Law Enforcement Guide To Satanic Cults
Devin DeHaven, USA, 1994, 72 min
A dated documentary into the oft-overlooked risk of Satanic cults and demonic activity for police and law enforcement officers.
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Geraldo Rivera’s “Devil Worship: Exposing Satan’s Underground” (1988) (July 5, 2016) SATANIC PANIC Hardcover Collector’s Set now available from FAB Press (May 15, 2016)
MMXV, Rapport annuel, bilan des opérations (December 31, 2015)
Christian Nightmares (July 14, 2015)
KIER-LA JANISSE and PAUL CORUPE launch Satanic Panic: Pop-Cultural Paranoia in the 1980s (July 3, 2015)
A new anthology book on how the fear of a Satanic conspiracy spread through 1980s pop culture
(June 15, 2015) Satanic Panic: Pop-Cultural Paranoia in the 1980s (March 31, 2015) The Devil Worshippers (1985) presented by ABC (July 31, 2012)
A major 300 page photographic exploration of contemporary Spiritualism, documented over eighteen years. With a foreword by Dan Akyroyd, an introduction and stories by Shannon Taggart and supporting contextual essays from Andreas Fischer and Tony Oursler.
‘TAGGART’s aim – or better put, her mission – is to document contemporary manifestations of Spiritualism by photography, creating a project that is practically unparalleled in history.’ – Andreas Fischer, co-curator of The Perfect Medium: Photography and the Occult (Metropolitan Museum of Art, New York, 2005)
American artist SHANNON TAGGART became aware of Spiritualism as a teenager, when her cousin received a message from a medium that revealed details about her grandfather’s death. In 2001, while working as a photographer, she began taking pictures where that message was received – Lily Dale, New York, home to the world’s largest Spiritualist community – proceeding to other such communities as England’s Arthur Findlay College. TAGGART expected to spend one summer figuring out the tricks of the Spiritualist trade. Instead, Spiritualism’s mysterious processes, earnest practitioners, and neglected photographic history became an inspiration. Her project evolved into an eighteen-year journey that has taken her around the world in search of ‘ectoplasm’ – the elusive substance that is said to be both spiritual and material.
With SÉANCE – part documentary, part ghost story – TAGGART offers us haunting images exploring Spiritualist practices in the US, England and Europe: 150 of her original photographs, many of which have never been published, as well as rare historical photographs. Supported with a commentary on her experiences, a foreword by Dan Aykroyd, creator of Ghostbusters (1984) and fourth-generation Spiritualist, and illustrated essays from curator Andreas Fischer and artist Tony Oursler, SÉANCE examines Spiritualism’s relationship with human celebrity, its connections to art, science, and technology, and its intrinsic bond with the medium of photography. The book concludes with the debate over ectoplasm and how Spiritualism can move forward in the twenty-first century.
‘Whether you believe in the paranormal or don’t, SHANNON TAGGART’s book is fascinating and the photos are haunting!’ – Uri Geller
OTTAWA – La faction ottavienne du Temple satanique, une organisation non théiste, organise une « messe noire » dans un bar de la capitale, samedi soir. Sur Facebook, les organisateurs disent qu’il y aura notamment des prestations burlesques et une collecte de chaussettes, en plus du « rituel », ce qui n’a pas empêché l’archevêque d’Ottawa de dire qu’il s’agit d’un événement à caractère haineux.
L’archevêque Terrence Prendergast a indiqué par voie de communiqué que le rassemblement prévu dans un bar du marché By estmanifestement une confrontation agressive contre la religion catholique et se veut une expression de discours de haine.
La montée aux barricades de l’archidiocèse d’Ottawa n’a pas manqué de faire réagir à son tour le Temple satanique. Son porte-parole, Lucien Greaves, a répondu lui aussi par communiqué en affirmant que le blasphème est critique des idées reçues. Le discours haineux dénigre un peuple.
Il y a une différence claire entre le discours haineux et le blasphème, et [Mgr] Prendergast confond volontairement les deux concepts.
– Extrait d’un communiqué de Lucien Greaves, porte-parole, Temple satanique
M. Greaves reconnaît toutefois que la messe organisée par le Temple sera blasphématoire et irrévérencieuse envers les symboles superstitieux et l’autorité arbitraire. Il a également soutenu que la présence [de Mgr Prendergast] à la messe noire, si elle était non-dérangeante, aurait été cordialement acceptée, si l’archevêque avait tenté d’entrer en dialogue avec le Temple.
Pour sa part, Mgr Prendergast compte organiser une messe de réparation samedi matin afin que Dieu transforme cette confrontation contre la foi chrétienne en une occasion de grâce.
Le Temple satanique a l’habitude des coups d’éclat. En 2018, l’organisation a voulu manifester contre le gouvernement de l’Oklahoma qui a installé, devant son capitole, un monument représentant les 10 commandements.
En guise de protestation contre ce qu’ils percevaient être une violation de la séparation de l’Église et de l’État, des membres du Temple ont amené sur les lieux une colossale statue de Baphomet, une créature ailée avec une tête de bouc.
L’affaire s’est rendue jusqu’à la Cour suprême de l’Oklahoma. Le tribunal a tranché que le monument représentant les 10 commandements devait être démantelé, car son installation violait la constitution de l’État, plus spécifiquement, l’article voulant qu’aucune somme publique ne puisse être dépensée au bénéfice d’une religion ou groupe spirituel précis.
QUÉBEC — Le crucifix de l’Assemblée nationale prend sa retraite des parlementaires: il ne trônera plus comme il le fait depuis des décennies derrière le trône du président de l’Assemblée nationale.
Comme prévu, on l’a décroché mardi de sa position stratégique pour observer les élus du Salon bleu, au moment où les députés sont tous partis en vacances.
Ce Christ en croix, symbole controversé de la connivence passée entre l’Église catholique et l’État québécois, incommodait la classe politique depuis des années, et ce, de plus en plus.
La récente vague de fond en faveur de la laïcité de l’État aura eu raison de ses partisans les plus irréductibles, qui vantaient sa valeur historique et patrimoniale pour justifier la décision de le laisser veiller sur les élus.
Le déplacement vers un lieu plus consensuel a donc été effectué mardi matin, point d’orgue d’une interminable saga.
Dans la plus grande discrétion, en marge du brouhaha habituel qui anime le Salon bleu, un employé de l’Assemblée nationale spécialisé dans le maniement des objets patrimoniaux, dont l’identité n’a pas été révélée, a enfilé ses gants blancs, s’est approché du trône du président, pour grimper dans un escabeau et s’emparer délicatement de l’objet religieux autrefois vénéré et aujourd’hui banni des lieux.
Ceux qui s’ennuieront de lui pourront toujours aller se recueillir devant l’alcôve où il sera bientôt placé, plus modestement, sur le parquet, entre le Salon bleu et le Salon rouge, d’ici la fin de l’été.
On y trouvera en fait les deux crucifix ayant orné le Salon bleu au fil des ans: le premier, dès 1936, à l’initiative du premier ministre Maurice Duplessis, et le second, qui était en place depuis 1982. Une notice explicative fournira l’historique des deux objets religieux litigieux.
Après des années de débats sur le sujet, le ministre Simon Jolin-Barrette a déposé une motion à l’Assemblée nationale visant à retirer le crucifix. Elle a été adoptée à l’unanimité le 28 mars. Cette motion stipulait que le Bureau de l’Assemblée nationale (BAN) recevait le mandat de déplacer le crucifix du Salon bleu pour le mettre en valeur ailleurs, dans l’enceinte du Parlement.
Dans le passé, le premier ministre François Legault avait mentionné plusieurs fois qu’à son avis, le crucifix du Salon bleu était un objet patrimonial qui devait rester en place. Il a finalement fait volte-face ces derniers mois, présentant sa nouvelle position comme un compromis offert aux détracteurs de la loi 21 sur la laïcité de l’État, qui interdit à plusieurs catégories d’employés de l’État, dont les enseignants, de porter des signes religieux.
Le retrait du crucifix du Salon bleu adopté à l’unanimité (March 28, 2019)
Retrait du crucifix de l’hôtel de ville de Montréal (March 20, 2019)
Benhabib veut débattre du crucifix à Québec (August 15, 2012)
Le crucifix est là pour rester à l’hôtel de ville de Montréal (February 19, 2011)